Le Bureau central israélien des statistiques a déclaré lundi que le chômage global en Israël avait chuté en février de 18% à 16,7%.
Cela reflète une baisse d’environ 50 000 chômeurs en Israël, d’environ 748 000 à environ 698 000.
Une grande partie du chômage en Israël est attribuée à la crise économique causée par le coronavirus.
Israël a commencé à rouvrir une grande partie de l’économie au cours des dernières semaines, car il a vacciné de plus en plus de population contre le COVID-19. Ces réouvertures, dont une grande partie a commencé fin février, pourraient expliquer la baisse des taux de chômage.
Israël a assoupli encore plus les restrictions imposées aux entreprises en mars, alors que le nombre de coronavirus s’est considérablement amélioré. Le Finance Le ministère a prédit que 2021 verra le PIB croître à un taux de 2,8% à 4,9% (selon la sévérité des restrictions sur les coronavirus).
Il prévoit également que si la campagne de vaccination réussit et que l’économie peut maintenir sa reprise sur la bonne voie, le taux de chômage à la fin de 2021 pourrait être aussi bas que 6,5 %. Il pourrait alors progressivement revenir aux niveaux d’avant la pandémie, lorsque les chômeurs ne représentaient que 4 % de la population active.
Selon le ministère, le PIB par habitant d’Israël en 2020 était de 95,7 % de celui du pays en 2019, reflétant la baisse de la productivité pendant la pandémie et ses périodes de confinement.
Le PIB global du pays en 2021 devrait augmenter légèrement et atteindre 97,9% du PIB de 2019. 2022 devrait montrer encore plus de reprise, avec un PIB projeté à 100,3 % de celui de 2019 – indiquant une économie qui a dépassé celle de la période pré-pandémique.