Les cimetières français frappés par de nouveaux antisémites attaquent un message de notre éditeur et PDG Rachel Fishman Feddersen

La police française enquête sur de nouveaux actes de vandalisme dans deux cimetières juifs et un bâtiment municipal.

Lundi à Paris, la police a arrêté deux hommes soupçonnés d'avoir déterré deux cadavres au cimetière Pantin, selon un communiqué de la municipalité. Ils se sont révélés être en possession d'un certain nombre de dents humaines et sont soupçonnés d'être tombés, indique la déclaration.

À Avignon près de Marseille, deux plaques sur le mur du cimetière juif ont été matraquées le 22 novembre, selon 20 minutes, un site de nouvelles français. Les plaques avaient été réparées après avoir été brisées le 8 octobre. Une plaque disait «cimetière juif» et l'autre avait une star de David.

Olivier Tainturier, directeur général de la municipalité locale de Vaucluse, a déclaré que son bureau « prévoyait d'installer une surveillance vidéo ».

La veille, «des textes pro-palestiniens et antisémites contre Israël et la police» ont été découverts sur le théâtre municipal de Neuilly-sur-Seine, une banlieue occidentale de Paris, selon la chaîne de télévision française BFM. Le rapport n'a pas dit ce qui était peint par pulvérisation.

Jean-Christophe Fromantin, un maire adjoint, a déposé une plainte auprès de la police et a eu le graffiti, qu'il a appelé «odieux», retiré d'ici la fin de la semaine. Un catholique pratiquant, depuis Antin, a déclaré que le «retour du peuple juif en Israël était un miracle».

Lundi également, SPCJ, l'unité de sécurité des communautés juives de la France, a félicité le traitement par les autorités françaises de la poursuite d'un étudiant universitaire étudiant des études islamiques qui ont menacé de commencer «une autre Shoah» dans un e-mail à un professeur juif.

Le 15 novembre, un tribunal d'Aix-en-Provence a donné à l'homme sans nom une peine d'un an avec sursis plus deux ans de probation.

Dans un e-mail envoyé le 19 mars, le jour où un extrémiste musulman a tué quatre Juifs à Toulouse, l'homme a écrit à un professeur juif d'études hébreu et juives à l'Université de Provence: «Quand allez-vous cesser de nous faire avaler vos tragicomédes, le dernier ce matin? Je n'aime pas les ordres et encore moins d'un juif. Il suffit de faire un autre Shoah.».

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