Calle Buenos-Aires 234, Montevideo, Uruguay.
Dans le n° 13 (avril 1995) qui
vient de nous parvenir, nous relevons des signatures qui sont familières à nos
lecteurs (Bicerano du “Shalom” d’Istanbul, Matilda de Barnatan, José Luis
Lacave, Elie Shaul etc.) et des articles couvrant des domaines religieux et/ou
culturels. La Rédaction de la revue ouvre un débat sur la question de savoir s’il est - ou non - nécessaire de traduire en castillan les textes lui parvenant rédigés en judéo-espagnol.
C’est pour nous une fausse question, les lecteurs hispanophones d’Uruguay
pouvant facilement comprendre le judéo-espagnol, quitte à expliquer en note tel
ou tel terme venant du turc, du français ou d’une autre langue... Ça n’est pas
en traduisant deux langues si proches l’une de l’autre que nous maintiendrons
le judéo-espagnol en Amérique du Sud ! J C
|