Qui peut encore ignorer qu’il y a cinquante ans, en Pologne, les camps d’extermination nazis se vidaient de leurs derniers prisonniers ? Des marches forcées meurtrières, des transports en wagons découverts par un hiver glacial, bien peu sont revenus. C’est en hommage à leurs souffrances et à celles des hommes, femmes et enfants, Juifs et Tsiganes disparus qu’est dédié le présent numéro de la “Lettre Sépharade” Mireille
Mazoyer-Saül
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